PREVIEW - PowerWash Simulator 2 (Par Max)

Publié le 11 octobre 2025 à 17:30

PowerWash Simulator 2 — Quand la crasse devient un art de vivre

 

Le studio FuturLab revient avec force grâce à PowerWash Simulator 2, la suite tant attendue de son jeu culte au concept relaxant. Bien que la démo se limite à seulement deux missions, elle suffit amplement à rappeler pourquoi cette expérience séduit autant : la sérénité de nettoyer, la satisfaction incomparable de voir la saleté disparaître sous un jet d’eau précis et puissant.

Les deux environnements proposés — un camion de déménagement recouvert de poussière et des toilettes publiques escamotables qui semblent avoir survécu à un véritable désastre gastronomique — donnent immédiatement le ton. C’est toujours aussi sale, toujours aussi gratifiant, et, surtout, toujours aussi addictif.

Sur le plan technique, FuturLab privilégie le raffinement à la révolution. La physique de l’eau est plus précise, les textures de saleté plus réalistes, et les reflets bien plus élaborés sans pour autant nuire à la lisibilité. L’équipe a affiné sa formule avec soin, préservant cette boucle de gameplay hypnotique où chaque centimètre propre devient une petite victoire gratifiante.

Ce qui marque dans cette démo, c’est l’équilibre parfait entre familiarité et nouveauté. Les sensations du premier opus sont intactes — le souffle du jet, le cliquetis du nettoyeur, et la satisfaction sonore du fameux "100 % nettoyé" — mais avec un confort accru et une mise en scène nettement améliorée. Les décors, bien que modestes, témoignent d’un souci du détail et d’une volonté subtile de raconter l’histoire d’un monde marqué par le passage du temps et des hommes.

Cette suite ne réinvente pas la formule, mais perfectionne ce qui a fait son succès : plus fluide, plus précis et légèrement plus vivant. Sans révolutionner un genre qu’il a lui-même popularisé, PowerWash Simulator 2 s’annonce comme une suite parfaitement équilibrée — à la fois familière, apaisante et, il faut le dire, étrangement satisfaisante à jouer.

Et puis entre nous… s’il faut passer son samedi à nettoyer des toilettes publiques virtuelles pour atteindre la paix intérieure, eh bien, mission accomplie. FuturLab a encore réussi à faire de la propreté un plaisir coupable — et on en redemande.

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